Rapport trimestriel – Équipe des actions et des titres à revenu mondiaux Mackenzie

Du bureau de l'Équipe des actions et des titres à revenu mondiaux Mackenzie Q3, 2024

Fonds mondial de dividendes Mackenzie

Faits saillants :

  • En dépit du ralentissement de l’inflation et des baisses de taux décidées par la Réserve fédérale américaine et la Banque centrale européenne, le décalage sur les marchés et les risques potentiels, notamment les tensions géopolitiques et l’issue de l’élection, suscitent des inquiétudes.
  • Les secteurs sensibles aux taux d’intérêt ont dominé le marché sur le plan des gains. Le secteur de l’énergie a été le seul à afficher un rendement négatif. La région Asie-Pacifique (hors Japon) a progressé de près de 13 % à la faveur du train de mesures de relance du gouvernement chinois, tandis que l’Europe, les États-Unis et le Japon ont enregistré des gains plus modestes.
  • Les récentes mesures adoptées par la Chine ont alimenté l’optimisme des marchés sur le moment, mais des difficultés demeurent à long terme. L’engagement du gouvernement de s’attaquer aux problèmes économiques est notable, même si la comparaison avec les difficultés rencontrées par le Japon dans les années 1990 incite à un optimisme prudent.

Les marchés mondiaux, que reflète l’indice MSCI Monde, ont progressé de 5,1 % au troisième trimestre. Le portefeuille a suivi le rythme, avec un gain de 5,2 %. Le marché a de nouveau atteint des sommets sans précédent. L’inflation recule, la Réserve fédérale américaine et la Banque centrale européenne réduisent leurs taux, et la volatilité implicite est revenue au niveau de ses creux récents après une certaine effervescence pendant le trimestre. Si l’appréciation de 22 % des marchés depuis le début de l’année paraît excellente, elle pourrait occulter ce qui se produit en profondeur. Il ne semble pas y avoir dans les cours actuels des marchés une prise en compte suffisante du risque. On continue de s’interroger sur le risque d’atterrissage brutal de l’économie aux États-Unis et la réaction des marchés après l’élection. Une victoire des républicains se traduirait-elle par une nouvelle vague de tarifs, ce qui ferait ultimement plus de mal que de bien? Les démocrates étoufferaient-ils l’économie par des hausses d’impôts et un élargissement des programmes sociaux? Et, malheureusement, les conflits au Moyen-Orient et en Ukraine ne sont toujours pas réglés.

Tous les secteurs de l’indice MSCI Monde ont progressé durant le trimestre, à l’exception de celui de l’énergie (-3,6 %), qui a été tiré vers le bas par le ralentissement de la croissance économique dans le monde. Cela démontre une nouvelle fois à quel point il est futile de tenter de faire des prévisions à court terme ou d’essayer d’obtenir un résultat de placement à partir d’un point de vue économique. Nous aurions probablement été surpris si l’on nous avait dit, il y a un an, que des troupes israéliennes seraient aujourd’hui au Liban, mais que les cours du pétrole seraient plus bas qu’à l’époque. Le secteur de la technologie de l’information est globalement resté stable pendant le trimestre (+0,3 %), les actions du segment des semi-conducteurs, bien qu’elles affichent une forte hausse depuis le début de l’année, ayant connu une relative faiblesse.

Les secteurs sensibles aux taux d’intérêt sont ceux qui ont enregistré les gains les plus nets pendant le trimestre, à commencer par ceux des services aux collectivités (+16,2 %), de l’immobilier (près de +15,4 %) et de la finance (+9,4 %). Ces chiffres ne doivent pas surprendre, étant donné que la Réserve fédérale américaine a réduit ses taux de 50 points de base et que la Banque centrale européenne a procédé à sa deuxième baisse du taux de la facilité de dépôt en trois mois. La Banque du Japon a pris le marché au dépourvu en relevant son taux de 0 % à 0,25 % au début d’août, ce qui a déclenché une forte hausse du yen et un dénouement soudain des opérations de portage en yen, stratégie reposant sur la faiblesse des taux d’intérêt japonais. Les prix des actions en ont subi le contrecoup, l’indice Nikkei ayant perdu plus en une journée (-12 %) qu’à tout autre moment de son histoire. Les prix se sont pour la plupart redressés après la pause marquée par la Banque du Japon en septembre et l’annonce de perspectives économiques relativement favorables.

Sur le plan géographique, l’Asie hors Japon a progressé de près de 13 %, stimulée par un vigoureux redressement des actions chinoises, que certains investisseurs avaient précédemment jugées « indignes de placement ». Cette reprise faisait suite à l’annonce d’un large éventail de mesures de relance à la fin de septembre. Les actions européennes, américaines et japonaises ont respectivement gagné 5,3 %, 4,6 % et 4,5 %.

De l’avis général, la Chine représentait au début de septembre une destination de placement, pour dire les choses gentiment, sans intérêt. Le pays était en déclin, les problèmes économiques étaient structurels, et le gouvernement n’était pas enclin à agir. Un mois plus tard, après que le Bureau politique chinois eut introduit un vaste train de mesures de relance, ce qui était précédemment jugé structurel était devenu un problème cyclique, et les investisseurs ont soudainement commencé à se demander jusqu’où cela devrait aller pour que l’économie ne périclite pas complètement. Le fameux et très prospère investisseur David Tepper (évitez juste de regarder son bilan en tant que propriétaire des Panthers de la Caroline!) a suscité l’émoi en annonçant publiquement, en gros, que les choses étaient « différentes » cette fois.

D’un point de vue macroéconomique, les problèmes de la Chine sont faciles à comprendre : le pays souffre d’une crise de confiance des consommateurs qui se manifeste par une baisse de la consommation individuelle, ce qui pèse sur l’ensemble de l’économie. Ce qui se cache derrière ça est plus sujet à débat : une certaine combinaison de vieillissement de la population, de niveaux d’endettement à l’échelle provinciale et de déflation sur le marché immobilier. Les nouvelles politiques annoncées comprennent des baisses de taux d’intérêt, des injections de capitaux destinées à soutenir l’activité de prêt des grandes banques d’État, une augmentation des liquidités par la Banque centrale chinoise pour favoriser les achats d’actions, la promesse générale d’une future politique budgétaire contracyclique pour soutenir la consommation, l’emploi, le revenu des classes moyennes et inférieures, ainsi que différentes politiques pour aider à la fois les accédants à la propriété et les promoteurs immobiliers en difficulté. Ce dernier point pourrait être un aspect essentiel de ces politiques, car l’immobilier a été la réserve de richesse la plus importante et la plus vaste pour les ménages chinois au cours des dernières décennies.

Il ne fait aucun doute que ces politiques ont aidé le marché boursier chinois ces dernières semaines; il convient toutefois de préciser, étant donné l’apathie du marché boursier, que N’IMPORTE QUELLE bonne nouvelle aurait causé un sursaut (nous n’avons pas non plus observé un bond de 35 % du creux au sommet en deux semaines!). Quant à savoir si ces mesures permettront à la Chine de surmonter les vastes difficultés économiques auxquelles elle fait face, il vaut mieux attendre de voir. D’un côté, les choses semblent différentes cette fois-ci en ce qui concerne la volonté de l’État de s’attaquer au problème, pas uniquement parce que le gouvernement a répondu aux principales inquiétudes du marché, mais aussi en raison de certains facteurs plus subtils que nous avons observés. Par exemple, le fait que ces mesures ont été annoncées en dehors du calendrier normal des réunions du Bureau politique indique un changement de ton. On ne peut toutefois s’empêcher de comparer la situation de la Chine à celle du Japon dans les années 1990. Nommément, une économie axée sur les exportations émergeant également d’une bulle immobilière colossale. On se rappelle ce moment marquant où, en 1989, le Palais impérial de Tokyo était évalué plus cher que l’ensemble du parc immobilier californien. Pendant les années ayant suivi le pic de l’immobilier commercial et l’entrée de l’économie dans un profond malaise, la Banque centrale japonaise a procédé à plusieurs cycles d’injection de capitaux dans le secteur financier, lancé différents programmes de mesures de relance budgétaires et imposé des décennies de politique de taux d’intérêt nuls. Ces politiques ont-elles contribué à éviter la sanction qu’une véritable crise bancaire aurait provoquée? Peut-être. Se peut-il qu’elles aient au mieux permis à l’économie japonaise de végéter, pendant que les espoirs de mesures de relance favorisaient des reprises occasionnelles du marché? Dans ce contexte, les sociétés japonaises de qualité supérieure parvenaient encore à s’en sortir, malgré la situation économique. Nous abordons la situation chinoise de la même façon. Et, même si nous ne détenons actuellement aucun placement dans des sociétés cotées émettant des actions de catégorie A, nous avons ce que nous considérons comme étant des positions raisonnables par l’intermédiaire de sociétés comme la Bourse de Hong Kong (HK Exchange, grâce à sa prise en charge d’actions cotées dans deux bourses), Siemens (très présente dans l’automatisation des usines chinoises), Itochu (essentiellement grâce à sa participation dans Citic) et Merck (par le biais de son vaccin Gardasil). C’est ce qui nous semble être l’approche la plus prudente à l’heure actuelle.

Enfin, nous avons fait part de nos réflexions générales concernant le résultat de l’élection et le positionnement du portefeuille au dernier trimestre. En résumé, il est peu probable que nous prenions des décisions importantes en pariant sur un résultat particulier. Cela dit, nous sommes parfaitement conscients des risques, notamment des conséquences potentielles qu’aurait une victoire de Donald Trump sur le commerce mondial s’il parvient à imposer de lourds droits de douane. Cela toucherait les importations de Chine, pour lesquelles les droits envisagés pourraient atteindre 60 % sur certains produits. Les importations de produits électroniques et textiles d’entreprises mexicaines et européennes n’ayant pas d’usine de fabrication aux États-Unis pourraient aussi être exposées à ce risque. Heureusement, nous avons peu de placements dans ces entreprises. Par exemple, nombre de sociétés européennes du secteur de la santé dans lesquelles nous investissons, comme Roche, Astra Zeneca et Novo Nordisk, possèdent d’importantes unités de fabrication aux États-Unis. C’est le cas de beaucoup d’entreprises non américaines des secteurs des produits de base et de l’industrie qui tendent à soutenir leurs ventes aux États-Unis par une production locale. On peut ici penser à Nestlé, Haleon ou Assa Abloy.  TSMC, qui fabrique la plupart de ses puces à Taïwan et réalise plus de 50 % de son chiffre d’affaires aux États-Unis, est peut-être l’exportateur le plus important de notre portefeuille. Et si l’on tient compte du chiffre d’affaires qu’elle réalise en dehors des États-Unis avec des entreprises basées sur le territoire américain comme Apple ou Qualcomm, cette société est très présente aux États-Unis. En outre, en réponse aux politiques américaines visant à réduire la dépendance du pays envers les importations de semi-conducteurs, TSMC a bénéficié d’incitatifs pour construire des usines de fabrication de puces avancées; le début de la production de masse dans son usine de l’Arizona est d’ailleurs prévu en 2025. Les États-Unis ont-ils vraiment intérêt à nuire à TSMC, étant donné l’importance de ces usines pour la capacité future de production de semi-conducteurs du pays?

Pour conclure, bien que nous mesurions la volatilité qui risque de régner dans les prochains mois, nous sommes à l’aise avec nos placements. Nous continuons de gérer un portefeuille bien diversifié sur les plans sectoriel et régional, dans lequel la plupart des changements que nous effectuons sont le résultat de notre évaluation des rendements potentiels corrigés du risque des actions individuelles.

Ce qui a contribué au rendement

Hong Kong Exchange (HKEX) a progressé de plus de 30 % et s’est classée parmi les positions ayant le plus contribué au rendement du portefeuille au cours du trimestre, en raison du vif enthousiasme suscité chez les investisseurs par l’intervention budgétaire de la Banque populaire de Chine (BPdC). Comme nous l’avons mentionné plus tôt, la BPdC a annoncé une série de mesures de soutien, notamment une baisse de 20 pb des taux à court terme (taux de mise en pension à 7 jours); elle a en outre réduit de 50 pb le taux de réserve obligatoire pour les institutions financières et abaissé de 2,3 % à 2,0 % les taux des prêts à moyen terme sur un an d’une valeur de 300 milliards de RMB aux grandes institutions financières. En raison de ces facteurs, les activités économiques de la Chine pourraient s’accélérer, ce qui stimulerait directement les volumes de négociation de la HKEX et ajouterait à une performance déjà robuste pour le T2 de 2024. Au T2 de 2024, la HKEX a vu le roulement moyen quotidien (RMQ) des produits de capitaux propres augmenter de 23 % sur 12 mois en plus d’une croissance de 12 % sur 12 mois pour les produits dérivés, ce qui représente des volumes record à mi-année. Le marché chinois des PAPE continue de se redresser, avec une augmentation de 79 % sur 12 mois des fonds de PAPE au T2 – par rapport à des niveaux extrêmement bas, toutefois. Si les conditions économiques s’améliorent en Chine, la HKEX, en tant qu’indicateur financier fiable du marché chinois, devrait continuer de tirer parti de la reprise économique.

Oracle (ORCL) est une des sociétés qui se sont le plus appréciées (+19,5 %), grâce à un trimestre époustouflant marqué par une ambitieuse projection de chiffre d’affaires de 104 milliards de dollars pour 2029, après une accélération des investissements de l’entreprise dans sa plateforme Oracle Cloud Infrastructure (OCI). Oracle est depuis toujours une société dominante dans le domaine de la gestion de bases de données en entreprise. C’est cependant la croissance escomptée de la plateforme OCI qui nous a conduits à reprendre une position dans la société l’an dernier (et à l’accroître durant l’été), et nous sommes heureux des résultats récents de la société, attribuables à l’obtention d’importants contrats pour OCI avec des sociétés comme Berkshire Hathaway, TikTok et Bing Chat. De plus, Oracle, grâce à la demande des clients pour OCI, a établi des accords de partenariat avec les trois grands fournisseurs de services infonuagiques (Amazon, Google et Microsoft) pour offrir OCI sur leurs infrastructures, ce qui augure bien pour la prévision de chiffre d’affaires de 104 milliards de dollars en 2029.

Philip Morris (+19,7 %) est une des positions qui ont le plus contribué à notre rendement ce trimestre; les derniers résultats financiers de l’entreprise ont été robustes, et les investisseurs récompensent la modification de la composition du portefeuille de l’entreprise par une hausse du multiple. Philip Morris possède le premier portefeuille de produits à risque réduit dans la catégorie des produits nicotiniques dans le monde, qui représente désormais près de 50 % de ses profits globaux. L’activité des produits à risque réduit connaît une croissance annuelle de 25 % et génère un rendement du capital investi comparable, sinon supérieur, à celui des produits combustibles. La direction s’attend à ce que ces produits à moindre risque représentent au moins 66 % des profits de l’entreprise d’ici 2030 et, ultimement, 100 % à long terme.

Ce qui a nui au rendement

Pour la première fois en plusieurs trimestres, la position détenue dans Novo Nordisk a nui au rendement, après un recul de 19 %. Bien que nous détenions toujours des actions, nous avons adapté la taille de notre position, même si la société et l’action continuent de bien se comporter. Nous commençons à avoir des données sur les premiers essais de futurs produits concurrents de Wegovy, le principal produit de perte de poids de la société. Alors que nous restons d’avis que la position de chef de file qu’occupe Novo (avec Ely Lilly) est bien établie, le marché commence à manifester de l’intérêt pour de possibles produits concurrents, et peut-être même à intégrer une baisse de la part de marché de Novo à l’avenir. Des questions ont également fait surface quant à la volonté et à la capacité des sociétés d’assurance américaines de continuer de payer pour ce qui est un traitement onéreux. Nous restons à l’aise avec le niveau et la taille de notre position dans Novo Nordisk (moins de 1 % du portefeuille à l’heure actuelle) et nous ferons preuve d’opportunisme si le marché nous donne l’occasion d’augmenter notre position à un niveau de prix qui tienne exagérément compte de ses perspectives ou des menaces concurrentielles à long terme.

McKesson (MCK) a nui au rendement après un trimestre (-16,3 %) où les prévisions de bénéfice de la société dans ses segments des solutions médicales et chirurgicales et des solutions technologiques de gestion des ordonnances ont été revues à la baisse. Nous estimons que le contexte concurrentiel s’est accentué dans le domaine médical et chirurgical et que le taux de croissance des technologies de gestion des ordonnances se normalise après une demande élevée pour les autorisations relatives au peptide-1 de type glucagon (GLP-1). Bien que le fait de voir la direction réviser ses prévisions à la baisse après les avoir réaffirmées au trimestre précédent soit décevant, nous restons confiants dans la capacité de McKesson d’atteindre ses prévisions de bénéfice par action pour l’exercice 2025, et la thèse de base demeure intacte.

Lam Research (LRCX) a également nui au rendement (-24%), l’ensemble du complexe des semi-conducteurs ayant marqué une pause après une année 2023 et un premier semestre de 2024 éclatants. Lam vend du matériel hautement spécialisé à des usines de fabrication de semi-conducteurs; la moindre variation de la demande des clients finaux a sur elle un effet démultiplié. Nous sommes cependant optimistes quant à la position dominante à long terme de LAM dans les technologies de gravure, en raison de la complexité croissante des architectures de semi-conducteurs et de l’augmentation prévisible de l’intensité du capital dans la fabrication de semi-conducteurs. La société trouvera aussi un salut dans le fait qu’environ 40 % de son chiffre d’affaires est lié aux pièces de rechange, à la maintenance, aux mises à niveau et au soutien technique, qui devraient être des aspects plus résilients en période de faiblesse des marchés.

Changements apportés au Fonds mondial de dividendes Mackenzie

Nous avons pris une nouvelle position dans Nvidia (NVDA) pendant le trimestre. NVDA est une société de conception de semi-conducteurs qui occupe une position dominante dans le domaine des processeurs graphiques (GPU), éléments aujourd’hui essentiels au traitement des volumes de données de l’intelligence artificielle (IA). Bien que Nvidia soit depuis longtemps une société vedette, son modèle d’affaires s’est considérablement amélioré ces dernières années. Sa principale source de revenus est passée d’une clientèle moins fiable et plus spéculative d’amateurs de jeux vidéo et de mineurs de bitcoins à une clientèle formée des plus grandes entreprises technologiques du monde, engagées dans une course à la construction de centres de données exigeant des calculs accélérés. De plus, Nvidia a une activité en plein essor de composantes réseau qui, associées à son logiciel exclusif CUDA, lui permettent de disposer d’un écosystème verticalement intégré dominant. Malgré cette amélioration indéniable, Nvidia s’est brièvement négociée au début de septembre à sa valorisation la plus basse depuis cinq ans, un niveau comparable aux creux enregistrés lors des ventes massives suscitées par la COVID au début de 2020. Nous avons jugé qu’il était prudent de diversifier nos placements dans le domaine de l’informatique accélérée et avons en conséquence ajouté Nvidia au portefeuille.

Nous n’avons liquidé aucune position pendant le trimestre.

 

Équipe de gestion du portefeuille

Darren McKiernan, chef d’équipe, vice-président principal, gestionnaire de portefeuille, Gestion des placements, Placements Mackenzie

Katherine Owen, vice-présidente, gestionnaire de portefeuille, Gestion des placements, Placements Mackenzie

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Le 26 juillet 2013, le Fonds mondial de dividendes Mackenzie a modifié son mandat d’investissement dans les titres de participation et les titres à revenu fixe de sociétés qui exercent des activités principalement liées à l’infrastructure pour investir principalement dans les titres de participation de sociétés partout dans le monde qui versent ou devraient verser des dividendes. Le rendement antérieur à cette date a été obtenu dans le cadre des objectifs précédents.

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